À plusieurs niveaux, militer pour l’écologie et la planète comporte une prise de risques.
Dans différents pays, des lanceurs d’alerte et défenseurs de l’environnement sont victimes de violence, de harcèlement, de menaces et même de disparition ou de mort, suite à leurs prises de position ou leurs actions.
Dans un autre contexte, des militants s’engagent dans la désobéissance civile ou des actions radicales, un moyen de faire prendre conscience de l’inertie des gouvernants face aux désastres environnementaux que l’avenir réserve aux jeunes générations. Taxés d’ « écoterrorisme », ils sont dans le viseur du Ministère de l’Intérieur.
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